On ne peut pas dire que je sois digne d'une bonne employer mh. Au lieu de rester à travailler au garage, j'ai préféré prendre un jour de repos pour aller me baladé librement et faire des folies avec ma voiture. Bon, je l'avoue, les folies avec ma voiture n'étaient pas spécialement prévues, mais bon, en général, quand j'ai une course pour bientôt, je me prépare légèrement, même si je sais que la victoire sera des plus simples. J'ai donc quitté la ville bruyante et pleine de bouchon pour m'isoler au loin. Certes, ce n'était pas spécialement un bon jour pour faire ce genre de choses, la chaleur était légèrement meurtrière en ce moment, mais pourquoi attendre ? Le faire sous la pluie ce n’était vraiment pas mon truc.

J’étais légèrement vêtue, après tout, pourquoi sortir une doudoune sous cette chaleur, rien ne serait logique n’est-ce pas ? Mes lunettes sur le nez, musique à fond, je fonçais vers cette fameuse colline isolé, légèrement à distance de la plage. La route avait l’air déserte, personne ne passait par là, certainement parce que tout le monde était dans la piscine ou même à la mer, vu ce temps qu’il faisait, ce n’était pas étonnant. Moi aussi j’aurais bien pu rester chez moi à bronzé au bord de ma piscine, mais bon, je suis loin d’être une bourge jouant une attitude de pourri gâté tout le temps hein. Pour ma part, je suis riche certes, mais je ne vais pas m’en ventait. Malheureusement pour moi, ma belle voiture a fait un légé caprice sur la route. J’ai dû m’arrêter pour regarder ce qui n’allait pas. Bonne mécanicienne que je suis, j’ai sorti quelque outils, lever mon capot et observa d’où venait le problème et comme d’habitude, ça venait des bougies. Ah, j’avais énormément de chance faut croire mh.

Une fois mon problème réglé, je baissai le capos et rangea mes outils dans le coffre. Je pris une bouteille d’eau de la glacière disposé à l’arrière de la voiture et ouvrit la bouteille, faisant versé de l’eau sur mes mains nettoyant ces dernières pleines d’huiles et autre résidu du moteur. Une fois terminé, je regardais autour de moi et vit que je n’étais pas loin de la colline où je devais aller. Je pris la glacière et verrouilla ma voiture, après quoi je m’avançais doucement vers la fameuse colline. Une fois arriver à destination, je posa une serviette sur le sable ainsi que ma glacière à coter, après cela, je sortie un livre de mon sac à main et le posa sur la serviette. Par la suite, j’ai regardé les alentours, personne n’était présent, excepté moi-même. Tout en retirant mon débardeur, restant seulement en maillot et en short, je m’asseyais sur la serviette commençant en lire le livre.

Soudainement, j’entendis un bruit venant d’une sorte de cabane à l’abandon qui était situé à quelques mètres de moi, je me levai et me dirigea vers cette dernière. Je fis le tour du lieu, observant l’état de la bâtisse. Cette dernière devait vachement daté, les murs étaient presque rongés par l’humidité, la pluie et autre trouble climatique, la chaleur qu’il faisait ne l’aider en aucun cas. Bref, plus je marchais, pus j’entendais ce bruit, bruit qui laissait pensé à une sorte de frottement. Je pris la seule chose qui me passait sous la main en guise de défense. Une barre en fer rouillé, pratique n’est-ce pas ?

Je m’avançais, essayant de ne faire aucun bruit, puis une fois être proche du lieu où raisonner le bruit qui m’avait attiré, je pris mon courage à deux mains et j’entrai doucement. Un homme à terre, inerte, ou plutôt endormi était présent. Je m’avançais avec ma barre rouillé entre mes mains, regardant l’homme avec un regard déterminé et agressif, puis d’un coup, je le bousculai doucement avec ma barre pour le réveiller. Bien qu’il ne se réveilla pas, je lâchai ma barre et me pencha vers lui et le secoua pour le réveiller.

J’avais beau crier, il avait l’air d’avoir le sommeil bien lourd. Je me suis mise à abandonner puis je me suis lever, prête à partir quand soudainement..