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| Sujet: Sono itami mo wakaranai; Wakaranai kara || Keisuke Sam 27 Aoû - 14:03 | |
| Sexe - Quand tu veux, où tu veux, j'ai toujours ce qu'il faut de toute façon. Né(e) le - 16/11/1990 Âge - Si tu fais le calcul, ça fait vingt; je te jure. Origine - Je viens du pays du soleil levant, enfin, je crois... Orientation sexuelle - Mesdemoiselles, ne le prenez pas à mal, mais, vous n'êtes pas faites pour moi, j'en suis navré; ou pas. Section - Sciences et Maths. Année - 4º année, on est bon en cours, ou on l'est pas. Clan - Pas encore...
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Votre Age - 69 mon enfant, je me fais vieux, tu veux un bonbon? Votre Fréquence de rp - 4/7 - Mais je le sais, je suis capable de passer ma vie ici, je suis grave... Comment avez-vous connu le forum ? Parce que j'y suis déjà? Si, je le promets, la tomboy pratiquemment lesbienne c'est moi aussi! Autres - Je suis faible, et je vous aime. |
Respect des autres ★★★★★
Docilité ★★★★★
Sensibilité ★★★★★
Confiance en soi ★★★★★
Sociabilité ★★★★★
Sérieux ★★★★★
Maîtrise de soi ★★★★★
Popularité ★★★★★ |
Keisuke est un mystère...
"On est tous sur terre pour jouer un rôle paraît-il, le mien est un des plus misérables, le mien, est ignoble, répugnant, et pourtant, pourtant, je ne l'échangerais contre rien au monde" La sociabilité est loin d'être son fort. Il déteste ça, se mélanger aux autres, demeurer parmi la foule, se retrouver entouré d'inconnus. Comme une phobie à l'être humain, agoraphobe peut-être, qui sait? Lui même n'en est pas certain, tout ce qu'il sait, c'est qu'il ne veut pas qu'on l'approche, il ne veut pas qu'on le touche, il ne veut pas, il ne veut juste pas. Il n'arrive pas à être un homme parmi les autres, il n'y arrive pas, il ne veut pas l'être de toute façon. Pour, tous les hommes sont les mêmes, et les femmes, les pires traîtresses que l'on puisse rencontrer. Des démons sur terre, des êtres de destruction... Non, il ne veut pas être ainsi. Lui, il est un être à part. Kei n'est pas un de leurs, il vit dans un monde à part, un monde où la douleur ne l'atteint plus, où la douleur n'a pas lieu d'être. Par extension, Kei est quelqu'un qui a peu d'amis. Il ne comprend pas cette nécessité, ce lien qui lie les gens entre eux d'une façon ou d'une autre. Il a du mal. Keisuke aimerait pouvoir avoir des gens à ses côtés qui le comprendraient, mais il ne sait pas faire. Il reste dans son coin, la tête haute, à observer, à analyser. Il découvre le fonctionnement de la psychologie humaine, toujours un petit peu plus. Mais, quand on arrive à lui montrer qu'on ne lui veut aucun mal, alors peut-être que vous entendrez le magnifique son de sa voix, ou que vous arriverez à lui tirer un réel sourire. Sato n'est pas méchant dans le fond, il est juste meurtri. Malgré tout cela, pour étrange que cela puisse paraître, les gens ont tendance à s'intéresser à lui, vraiment, beaucoup. Peut-être que l'inconnu les intrigue, ou peut-être juste qu'ils voient en lui, quelque chose qu'il n'est pas, il ne sait pas, encore une fois, il ne sait pas. Avec tout ce dégoût pour autrui, Kei n'a pas connu foule dans son lit, mais il sait qu'il ne veut pas avoir à toucher une femme. Il en tremble rien que d'y penser; c'est une phobie encore plus forte que celle qu'il ressent pour les hommes. Le jeune sait qu'il pourrait donner le peu de coeur qu'il lui reste à un être du même sexe que lui, néanmoins, il serait difficile d'en arriver à ce point... "Ne me pensez pas pathétique en voyant ma réalité, vous ne la voyez pas avec mes yeux, vous n'êtes personne pour en juger..."
Parcours personnel
- global - l'histoire de votre personnage
- scolaire - son application, ses notes, son comportement
Détails physiques
- apparence générale -
- style vestimentaire -
- signes particuliers -
| Aimeriez vous adhérer à un clan ? Oui/ NonSi oui, au(x)quel(s) ? Saijou ou Waikin, je ne sais pas dans lequel j'irais le mieux. Et au(x)quel(s) n'aimeriez vous pas adhérer ? Evitons Gongju, ça va de soi... Exemple de Rp - Bonne lecture!:
Il y a des jours où on ne veut pas se lever, où rester dans son lit serait l’idéal. Il y a de ces jours, que rien qu’en regardant par sa fenêtre l’envie de faire quoi que ce soit nous abandonne, à cause du mauvais temps. A cause de la pluie même. Il pleuvait des cordes aujourd’hui. Le ciel était noir, et potentiellement triste, menaçant. On ne distinguait pas la lumière du jour, à tel point que Lejandro avait pu sortir tranquillement. Il ne pouvait pas rester dans son lit. Ça l’agaçait de rester sans rien faire. Même si ce n’était que marcher, il préférait ça à être dans son lit. Il avait donc déserté sa chambre, et la salle commune en milieu d’après midi. On était mercredi, par conséquent, il n’aurait cours qu’à vingt heures. Vagabondant dans les couloirs de l’école, Lex se demandait que faire. Xhen s’était enroulé autour de son bras, très bien, mais ce n’était pas facile de marcher avec, et il lui faisait comprendre. Parfois, il se demandait comment ce serait s’il pouvait se faire comprendre par n’importe quel serpent… Lejandro se posait souvent ce genre de question. Tout ce qui avait un rapport avec le pouvoir, la grandeur, ou tout simplement soit un peu obscur, ça l’intéressait. Il avait grandi ainsi, en considérant le mal comme son bien, on ne pouvait plus changer cela dans son esprit. Se dirigeant à la sortie du château, il ne fit même pas attention aux gens qui lui souriaient autour, à ceux qui lui souhaitaient une bonne journée. Il marchait, droit et fier, mais, tout ce qu’il y avait autour de lui, lui semblait invisible. Des moments comme celui-ci lui arrivaient souvent, il ne prenait plus le temps de tenir son masque. Ça lui arrivait, mais cela passait inaperçu, même le plus parfait des élèves pouvait avoir une mauvaise journée, n’est-ce pas ? La pluie ne cessait de tomber, mais lui s’en fichait, il continua de marcher, sous cette pluie froide. Xhen vint s’enrouler alors autour du cou de Lex, ce qui fit sourire le propriétaire de la bête ; Xhen avait faim. L’eau venant du ciel tapait sur lui comme sur son serpent, et c’est ainsi qu’ils s’éloignèrent doucement du château. Il n’y avait pas que Xhen qui avait faim. Seulement voilà, Lejandro ne pouvait pas manger à sa faim, encore moins ce qu’il voudrait réellement manger, mais il devait s’y tenir, il ne pouvait pas faire autrement. Du moins, pas pour le moment, car il trouverait bien une solution à son envie de sang humain. Fallait se l’avouer, il avait beaucoup de mal à se tenir à cette règle, et dès qu’il trouvait une proie facile, une proie que personne ne connaissait, il ne se gênait pas pour la dévorer. Bien entendu, tout cela était fait dans le secret… Dans la forêt, Lejandro laissa Xhen se poser au sol, lui avait de la chance, ce n’était pas des animaux qui lui manquaient. Il regarda le ciel, avec sympathie. Lui aimait ce temps de merde.
Minuit sonne, le dernier cours de sa nuit prend fin. Lejandro est de meilleure humeur désormais, et reste quelques instants à débattre sur le cours avec des camarades. Le voilà social, souriant, rieur, blagueur. Qui oserait croire qu’à l’intérieur, que dans son esprit il les a déjà dévorés trois fois, ou qu’il les maudit, encore et encore. Pour faire simple, à ce moment, alors qu’il rit à une remarque, il ne ressent qu’un dédain sans limites pour ces gens qui l’entourent. Les gens le dégoûtent, et il est partagé entre l’envie de les voir souffrir, ou juste disparaître. Selon lui, ils ne méritent même pas son attention. Mais il continue de jouer, son éternel rôle, rôle qu’il jouera sûrement à tout jamais, mais qu’importe, un jour, il se débarrassera de ce dégoût en retournant parmi les siens, non ? Oh, ses camarades voulaient aller faire un tour au grand salon, dans l’aile est. Lejandro sourit, et feint l’enthousiasme, allons-y, pour passer le temps, mais oui, allons-y ! Cet homme sait se fondre dans la masse, enfin, homme est un petit mot comparé à ce qu’il était. Lui était bien au dessus de cela, il le savait, on lui avait toujours dit, ce n’était que la stricte vérité.
Il pénétra dans le grand salon avec ses « camarades ». Il y avait d’autres élèves ici, certains regardaient un film, d’autres parlaient assis à une table. Lex en salua quelques uns au passage, avec un large sourire. Quand il se lassera de jouer les sociables, il deviendra sûrement un psychopathe fini ; manipuler si bien les gens, leur faire croire ce que bon lui semblait, ne pourrait pas le mener à faire des choses correctes de toute façon. Le jeune sorcier prit une chaise et s’assit près des autres, qui avaient décidé de se mettre à une table de jeu. Lui n’y jouerait pas, il les encouragerait tout simplement. Un vampire a trop de temps à perdre, vraiment trop…
Au bout d’un moment, Lejandro s’était mis à lire, se préparant pour ses prochains cours, alors qu’il suivait parfaitement la partie, ainsi que la conversation. Il était très polyvalent, forcément. Et puis, là, il se sentit observé. A vrai dire, il s’était senti ainsi depuis qu’il avait mis les pieds dans le salon, mais il s’était dit qu’avec ces personnes qui entraient et sortaient, c’était un peu normal. Sauf que là, ça commençait à l’agacer, alors, il regarda attentivement autour de lui, se levant de sa chaise, rangeant son livre. Son regard balaya la pièce, et là, il croisa le regard d’un de ses meilleurs amis, vive l’ironie. Il retint un rire, et le plus naturellement, il lui offrit un magnifique sourire. Tout en son visage laissait voir qu’il était quelqu’un de sympathique, comme il l‘avait été jusque maintenant avec les autres. Mais Léo n’y était pas vraiment habitué, n’est-ce pas ? Alors, tout en souriant, il mima : « bonsoir Leo » avant de reprendre la conversation. Ils allaient bientôt partir, mais lui, soudainement, en voyant Leo dans le coin, il n’en avait pas envie. Il sentait qu’il allait bien s’amuser.
Dernière édition par Sato Keisuke le Sam 27 Aoû - 23:29, édité 5 fois |
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